jeudi 29 mars 2012

DES HISTOIRES D'ARTISTES (8)








Luis Buñuel


Né à Calanda, un petit village en Aragon, il a été rapidement envoyé à Saragosse, dans un collège DE jésuites. Puis, il a étudié la littérature et la philosophie à l'Université de Madrid, où il a rencontré Federico Garcia Lorca, Salvador Dalí, Rafael Alberti et Ramón Gómez de la Serna. Il décroche un diplôme de littérature en 1924. L'année suivante, il s'installe à Paris où il fréquente le groupe surréaliste. Ici, il a travaillé sur son premier film, le court-métrage réalisé avec son ami Salvador Dali, « Un chien andalou »(1928).
Retourné en Espagne il conçoit « Terre sans pain» (1932), documentaire qui dénonce les conditions de vie misérables de la population d'une région de l'Estrémadure, connue sous le nom de Las Hurdes. Immédiatement après la guerre civile et la défaite de la République espagnole (1939) le metteur en scène émigre à New York. Il y va trouver du travail au Musée d'Art Moderne et devient responsable de la gestion du doublage de films américains en espagnol. En 1940, il a déménagé au Mexique. Il travaille en plusieurs films, y compris « Grand Casino » (1947), « Le Grand Noceur » (1949), et « Les Enfants de la violence » (1950), ce qui lui a valu le Grand Prix du Jury à Cannes en 1951. Dans le circuit du cinéma mexicain commercial fonctionne une longue série de films brillants, tournés avec un minimum de moyens techniques et économiques: « L'adolescence trouble » (1950), « La montée au Ciel » (1951), « Une femme sans amour » (1951), « Fille de déception » (1951), « The Bad » (1952).

Il faut considérer la période entre les années 1952 et 1960 comme un temps difficile. On trouve des films comme « Tourments », « L'illusion de voyager en tramway » (1953), « La forêt des damnés » (1956), « Pour un jeune la violence » (1960).
« Nazarín » est fort apprécié à Cannes (1958), et en 1961 il a reçu la Palme d'Or pour « Viridiana ». Mais ce film, jugé trop audacieux, est accusé de blasphème et c’est à cause de lui que se produit le licenciement du directeur général du cinéma espagnol par le Conseil des Ministres du dictateur Franco, qui s’exilera à l'étranger.

Il tourne au Mexique « L'Ange exterminateur » (1962), dans « Le Journal d'une femme de chambre » (1964) on retrouve la critique à l’intolérance. Encore une fois en France il réalise le magistral « Belle de jour » (1967), son plus grand succès qui lui a remporté le Lion d'Or à la Mostra de Venise. « La Voie lactée » (1968), jette un coup d'oeil surréaliste sur les hérésies de l'Eglise catholique. En 1970, il retourna en Espagne où il dirige « Tristana ».

Puis, vient l'Oscar au meilleur film étranger (avec la nomination pour le scénario)avec « Le charme discret de la bourgeoisie » (1972), l'un de ses films les plus célèbres. D’autres s’en suivent dont « Le Fantôme de la Liberté » (1974) et « Cet obscur objet du désir » (1977), son dernier ouvrage.
Il a aussi une « Obra Literaria » et son autobiographie "Mon dernier Soupir", en 1981, soutenue par son ami et co-auteur de son dernier film, Jean-Claude Carrière. Elle sera publiée à titre posthume.




Chefs-d’œuvre

http://www.youtube.com/watch?v=BVbTEVfLksU (Un chien andalou)
http://www.youtube.com/watch?v=x4hTSjfh7Y0 (Viridiana)


“Viridiana” “Belle de jour” “Tristana”


“Nazarin” “Un chien andalou” “La mort en ce jardin”
RÉFÉRENCES

• http://www.google.es/search?tbm=isch&hl=es&source=hp&q=LUIS+BUNUEL&btnG=Buscar+im%C3%A1genes&gbv=2&biw=1280&bih=615&sei=A-hAT8aoIYKZhQeqltS6BQ
• http://www.google.fr/
• http://fr.wikipedia.org/wiki/Luis_Bu%C3%B1uel#Filmographie
• http://www.youtube.com/?gl=ES&hl=es
• Larousse dictionnaire pocket

DES HISTOIRES D'ARTISTES (7)






L’ ENFANCE
Pablo Ruiz Picasso est né à Málaga, en Espagne, le 25 octobre 1881. Son père, José Ruiz Blasco, est peintre et professeur d’art dans les institutions les plus importantes. Il avait deux soeurs et sa mère est peu connue.
Picasso commence à peindre à un âge précoce. En 1889 sous la direction de son père, il a peint « El pequeño picador » sa première huile.


Depuis 1898, il signait ses œuvres comme "Pablo Ruiz Picasso", puis comme "Paul R. Picasso" et seulement en tant que "Picasso" à partir de 1901.
À PARIS
Entre 1901 et 1904 Pablo Picasso vit en alternance entre sa résidence à Madrid, Barcelone et Paris, tandis que sa peinture est entrée dans la phase appelée « période bleue », fortement influencée par le « symbolisme ». Au printemps de 1904, Picasso décide de s'installer définitivement à Paris et a créé un studio sur les bords de la Seine.
Il se lie d'amitié, entre autres, avec les poètes Guillaume Apollinaire ou Max Jacob et le dramaturge André Salmon. En même temps, sa peinture a subi un nouveau développement, caractérisé par une palette de couleurs terre tendant au « rose ». Peu de temps après son arrivée à Paris, il est entré en contact avec des personnalités de la bohème artistique du monde, comme les américains Léo et Gertrude Stein, ou celui qui serait à l’avenir son promoteur, Daniel-Henry Kahnweiler.



OBRAS DE PICASSO http://www.youtube.com/watch?v=Odqhkt3kYiA

GUERRE CIVILE
Le déclenchement de la guerre civile espagnole l'a poussé à une plus grande prise de conscience politique, qui est le résultat d'une de ses meilleures œuvres les plus connues, la grande fresque Guernica. En 1943, il rencontre Françoise Gilot, avec qui il a eu deux enfants, Claude et Paloma. Trois ans plus tard Pablo Picasso quitte Paris pour s'installer à Antibes.
Nous n’allons pas plus loin dans cette ébauche de sa biographie.

Silvia Rueda et Lidia Villalba

DES HISTOIRES D'ARTISTES (6)



Manuel de Falla
(1876-1946)
et ses séjours en France

Il a été un compositeur espagnol. C´est un des musiciens les plus importants de la première moitié du XXe siècle en Espagne. Il a été un membre de la “Real Academia de Bellas Artes de Nuestra Señora de las Angustias de Granada”.
En 1907 il a vécu à Paris, par conseil de Joaquín Turina. Il est entré en relation avec Claude Debussy, Maurice Ravel, Paul Dukas, et Pablo Picasso. Cela a influencé d´une manière déterminante sa musique postérieure.
En 1908 le roi Alphonse XIII lui a octroyé une bourse pour pouvoir continuer de résider à Paris et finir les “Quatre pièces espagnoles”.
Le 27 mars de l´année suivante c´est le début dans la salle Érard des “Quatre pièces espagnoles” interprétées par Ricardo Viñes, qui ont été publiées plus tard par l´éditeur Jacques Durand grâce à la recommandation de Dukas, de Debussy et de Ravel. La même année a commencé à composer « Les nuits dans les jardins de l´Espagne » et révise l´orchestration de « La Vie Brève ».
Le 4 mai 1910 la soprano Ada Adiny-Milliet a presenté dans la Societé Nationale Indépendante, accompagnée au piano par M. de Falla « Les trois mélodies », réalisées sur des textes de Théophile Gautier.
Le 30 novembre, Ricardo Viñes a présenté dans la Société Philarmonique Madrilène les 4 pièces espagnoles de M. de Falla.
Le 1 avril 1913 La Vie Brève a débuté dans le Casino Municipal de Nice et le 30 décembre de cette année l´essai général a été réalisé dans le Théâtre National de l´Opéra- Comique de Paris, avec public et critique. L’oeuvre a officiellement débuté le 7 janvier 1914 dans le théâtre. Max Eschig a publié la partition et s´est converti en éditeur de M. de Falla.
En 1914 il a composé les « Sept chansons populaires espagnoles ». Après le commencement de la Première Guerre Mondiale, M. de Falla est revenu à son pays natal et a fixé sa résidence de nouveau à Madrid.
Après la Guerre Civile espagnole il s’est exilé en Argentine où il meurt après une vie artistique richissime en succès.

À écouter absolument:
« El amor brujo » (L’amour sorcier) ; “Homenajes” (Hommages); “El sombrero de tres picos” (Le tricorne) ; « La fantasía bética » (La fantaisie bétique) ; “El retablo de maese Pedro” (Les tréteaux de maître Pierre) ; “Psyché” et aussi « La danza del fuego” (La danse du feu) http://youtu.be/unR6coI5rgI ; http://www.youtube.com/watch?v=zTKSTBJdUgI

Fran, Alberto y Oscar

DES HISTOIRES D'ARTISTES (5)


MANUEL AZAÑA

Alcalá de Henares, 10 Janvier 1880 - Montauban, France, 3 Novembre 1940
Il a été un écrivain espagnol et homme politique qui a occupé les postes de Premier ministre d'Espagne (1931-1933) et président de la Seconde République espagnole (1936-1939).

L’un des politiciens les plus importants dans la politique espagnole du XXe siècle, journaliste et écrivain remarquable, il a reçu le Prix national de littérature en 1926 pour une biographie La vie de Juan Valera.
Ses journaux constituent des documents des plus révélateurs du moment historique où il a vécu.
Biographie
Manuel Azaña est né dans une famille aisée, d’influence dans la vie intellectuelle de la ville d'Alcalá de Henares. Son père était notaire et secrétaire du conseil municipal. Il s’est consacré à la politique et est devenu maire de la ville. Il a écrit et publié en 1882 et 1883 une « Histoire de Alcalá de Henares » en deux volumes.
Parmi les amis de sa famille on compte Antonio Canovas del Castillo, président du Conseil de Ministres pendant une bonne partie du dernier quart du XIX è siècle.
En Octobre 1898, il s'installe à Madrid pour préparer le cours de doctorat à l'Université Centrale. À l'époque, et grâce aux efforts de son oncle, il a commencé à travailler comme stagiaire au bureau de l'avocat Luis Diaz Cobeña, où il a rencontré Niceto Alcalá Zamora (premier président de la République espagnole en 1931)


La formation française
En l’année 1900 il a lu sa thèse de doctorat en droit, intitulée La responsabilité de la foule, avec une note de remarquable.

Afin de suivre des cours en droit civil français à l'Université de Paris, en 1911 il a demandé une bourse qui lui est octroyée pour une période de six mois. Le 24 Novembre, il arrive à Paris et là, jusqu'à son départ un an plus tard, il a développé une intense activité intellectuelle qui a laissé le témoignage, en plus de notes personnelles, sur divers articles envoyés sous le pseudonyme de Martin Piñol à la presse espagnole.
Azaña était particulièrement impressionné par la vision de Paris comme une œuvre unique de la civilisation montrant le rassemblement de l’héritage chrétien avec la réhabilitation de la raison.
Azaña avait souvent à se réfugier dans son activité d'écrivain.
Comme idéologue, il analysait la révolution des tiers en rapport avec la monarchie et la noblesse ou le besoin d’une alliance entre la bourgeoisie et la classe ouvrière. Il n’était pas libre des critiques de ses contemporains.
En 1927, il a publié « Le Jardin des Frères », des composants récit autobiographique, qui a été bien accueilli par la critique en général. Le drame qu'il décrit est la constitution de l'individu, dans lequel l'éducation reçue est soumise à une critique très forte. Il a aussi consacré un intérêt particulier pour le théâtre, en 1928, il apparaît son ouvrage La Corona.
Quant à sa vie personnelle, en Février 1929, il épousa Maria Dolores Rivas Cherif dans l'église de Madrid, los Jerónimos. Il est décédé le 3 Novembre, 1940 à l’âge de soixante ans à Montauban en France


Par la suite, nombreux exilés, qui ont recalé dans la région, lui rendent encore de nos jours leurs hommages
http://espana36.voila.net/Montauban2008/19abril08.html



Noelia, 1º Bach

DES HISTOIRES D'ARTISTES (4)




Hemingway et son influence sur les intellectuels aux EEUU

L’ornière qu’il a creusée est encore sillonnée par beaucoup d’américains, éblouis par l’image de l’Espagne, forgée à travers ses écrits.



Heminqway a écrit beaucoup de livres quand il a vécu en Espagne et les sujets étaient liés à notre pays. Cet écrivain a eu une grande réputation (il en a encore) et les américains ont commencé à s´intéresser par l´Espagne et ses coutumes. C’est pour ça qu’une bonne partie de touristes américains nous rendent visite.

Un des sujets de ses livres c´est la tauromachie, mais aussi la forme de vie en Espagne, les coutumes, les fêtes...Un livre qui montre le sujet de la tauromachie est The Sun Also Rises. Un autre livre qui montre aussi sa passion pour les « corridas », les toréadors, les taureaux, c´est Death in the Afternoon. Et son engagement politique envers notre pays se recrée dans For Whom the Bell Tolls, un livre qui parle de la Guerre Civile Espagnole.

Actuellement, il y a quelques associations américaines qui ont des adhérents américains qui aiment la tauromachie ; le « Guter Club » en est une. Cette association créée pour les américains, organise des voyages à Pampelune lors de la San Fermin. Les « encierros », comme on appelle la course qui parcourt les rues de la ville, des garçons qui conduisent à toute vitesse les taureaux vers les arènes, attire encore nombreux « aficionados » d’au-delà l’Atlantique.

A part le Guter Club, il y en a bien d’autres, mais ce n´est pas nécessaire d’appartenir à une association pour que les américains montrent leurs goûts pour la fête. On peut lire dans le journal « America Global News » les rapports de San Fermin, ce qui montre la grande influence de Hemingway sur l´Amérique et sur les américains.
Alicia Lahuerta, 1º Bach

DES HISTOIRES D'ARTISTES (3)




Salvador Felipe Jacinto Dalí

L’enfance de Salvador Dalí
Salvador Dalí est né en Mai 1904, c’est le deuxième fils de Salvador Dalí Cusí et Felipa Domènech Ferrés. Il n’a pas connu son frère aîné parce que son frère mourait neuf moins avant. En 1908 naît sa sœur, Ana María. La famille habitait, en Espagne, mais ils passaient leurs vacances à Cadaqués. Le père de Dalí était notaire, une situation avec de l’influence politique et sociale.
Son père était connu pour son tempérament, et Dalí quand il était un enfant, avait peur de lui. C’est pourquoi il cherchait consolation auprès de sa mère et les domestiques.
À l’âge de quatre ans il commençait l’école mais Dalí rêvait, les yeux ouverts, et son père l’a envoyé à une école privée où les cours étaient en français. Le français serait la langue qu’il utiliserait professionnellement mais il parlait catalan et espagnol dans sa maison.
En été il dessinait sa famille au bord de la mer. Il connait Ramón Pichot (artiste impressionniste, mais qui expérimente également d'autres styles de l'avant-garde ). Il convainc le père de Dalí de l’inscrire dans la « Académie des Arts de San Fernando » à Madrid.









Dalí et la relation avec d'autres artistes
À Madrid, Dalí ressent la liberté d'expression personnelle et développe des relations étroites avec plusieurs de ses collègues, y compris Federico García Lorca et Luis Buñuel. Dalí a été associé à son ami Luis Buñuel pour créer un court film d'avant-garde, intitulé « Un chien andalou ».
En 1929, à Paris, le peintre Joan Miró le met en contact avec les membres du surréalisme. En plus il rencontre des artistes tels que le peintre belge René Magritte et Hans Arp.
Il rencontre Gala, la femme de l'écrivain Paul Eluard. Dalí et Gala étaient inséparables et en automne ils s'installent ensemble à Paris. Cinq ans plus tard, ils se marient dans une cérémonie civile.
Dalí était persuadé que la nature de l'inimitié entre lui et Picasso avait été causée par les journalistes malveillants et des rumeurs. À la vue des différences remarquables entre les styles de leurs tableaux, il n’y avait pas lieu de disputes. Cependant, il pensait que Picasso était extrêmement généreux et un bon ami.












Salvador Dalí et la France
En 1940, quelques semaines avant l’occupation nazie, Picasso a offert un voyage à Dalí et Gala pour qu’ils se déplacent en France. Dalí avait apporté quelques tableaux avec lui, mais beaucoup de ces tableaux-là ont été détruits. Dalí, qui était à Arcachon, déménage au Portugal, d’où ils partent pour l’Amérique. Il reste aux Etats-Unis jusqu’à 1948 quand il retourne en Espagne.
En 1968 il est ébloui par les succès de la révolution culturelle de « Mai 68 ». Il publie « Mi revolución actual » et la « Metamorfosis Erótica » ; il réalise des annonces publicitaires pour Perrier et Lanvin. En 1970 il publie « Dalí por Dalí ».
En 1972 il remet toutes ses œuvres au gouvernement espagnol et est choisi membre de l’ Académie des Beaux-Arts en France. En 1974 on inaugure la grande rétrospective de Dalí dans le Centre Georges Pompidou à Paris et aussi « l’environnement ». En pleine décennie du 1980 il dessine ses derniers tableaux.




Ester Díaz
Narcis Mengheri
Alba Cerdán

DES HISTOIRES D'ARTISTES (2)

Midnight in Paris : nos réponses à vos questions
1. Quel est le travail de Gil ? Ecrivain.

2. Quel est le sujet du livre de Gil ? Qu’est-ce qu’il raconte dans son livre ? L’histoire d’un écrivain à Paris ; autobiographique.

3. Combien d’écrivains a-t-il connu ? 4

4. De qui Picasso est-il tombé amoureux ? Adriana, la maîtresse de Modigliani

5. Pourquoi Gil est sorti avec ces personnes ? parce qu’il les admire, parce qu’il va trouver l’inspiration grâce à eux, les réponses à ses questions.

6. Est-ce que tu aimerais vivre à la Belle Époque, à la période du Paris de la bohème ?
- J’aurais aimé vivre à la Belle Epoque. Cette période était magnifique car j’aurais pu rencontrer tous les artistes talentueux, cultivés, intelligents, acheter les tableaux de Picasso, écouter ses explications sur ses tableaux. (Josnel)
- Oui j’aurais bien aimé vivre à la Belle Epoque car la France vivait une histoire intéressante avant 1914. (Rosine)
-Je n’aimerais pas vivre à la Belle Epoque. (Boudjema)
- Oui, j’aurais aimé vivre à la Belle Epoque car c’était une période où l’on était plus ou moins libre. (Sofia)
- Oui, pour la liberté que l’époque inspirait. (Zid)
-J’aimerais vivre à la Belle Epoque, parce qu’il n’y avait pas les nouvelles technologies. J’ai envie de vivre comme les gens vivaient à cette époque. (Chakriya)
- J’aimerais vivre à la Belle Epoque du Paris de la Bohème car j’aime leur façon de vivre : ils sont simples et ne se cassent pas la tête. (Mariame)
- Non, tout simplement ce n’est pas mon genre. (Amina)
- J’aimerais vivre à la Belle Epoque, parce que, peut-être, on peut rester dans l’histoire (Jinsi)

7. Quel est l’Âge d’Or ?
- Les années 70 et 80. L’époque du Disco. J’aime bien leurs costumes avec toutes les couleurs surtout les pantalons patte d’éléphant, la musique, leurs coupes de cheveux, ainsi que les hippies etc.… (Amina)
- à l’époque des années 80 parce que j’aime bien le Disco et le Jazz. (Mohamed)
- L’âge d’or c’est la Belle Epoque. C’est la période avant guerre. Il n’y avait pas l’individualisme, les conflits entre Etats. Les moyens de communication moins développés, pas de téléphone, la tranquillité. (Josnel)
- L’âge d’or, pour moi, c’est l’époque des indiens en Amérique. (Boudjema)
- L’âge d’or c’est les années 80. (Sofia)
- Mon Age d’or serait au Moyen Age. Je ne saurais pas vraiment expliquer pourquoi mais le Moyen Age m’a toujours intriguée. (Sofia)
- L’âge d’or pour moi est à l’époque du prophète Mohamed car j’aurais aimé connaître comment la religion musulmane a vu le jour. (Zoulikha)
- Je ne suis nostalgique d’aucune époque. On a tous en commun de subir son époque. (Zid)
- Les années 20( Mariame)

8. Combien de personnages célèbres a connu Gil ? 9

10. Que pensez-vous de la fin ? Va-t-il rester avec Gabrielle ?
- La fin est assez inattendue car il se met en couple avec la vendeuse de disques alors qu’il était venu sur Paris pour préparer son mariage… Il pourrait bien rester avec Gabrielle car ils vivent dans le même monde et ils aiment les mêmes choses… (Sofia )
- La fin a été triste car sa future femme le quitte pour aller avec un autre et aussi son mariage a été annulé. Mais d’un autre côté il a réalisé son rêve d’écrivain et a pu rencontrer ses personnages préférés à travers son rêve. (Boudjema)
- Je ne pense pas qu’il va rester avec Gabrielle. (Sofia)
- Oui, il va rester avec Gabrielle car tous les deux ont les mêmes idées et les mêmes goûts ; ils sont de la même époque et lui aimerait rester à Paris réaliser ses rêves, et Paris lui plait… (Amina)
- La fin est très ambigüe. (Josnel)
- A la fin, il réalise son rêve et reste à Paris. Il retourne voir Gabrielle peut être pour commencer une relation avec elle car sa femme l’a trompé. (Zoulikha)
- Un joyeux Happy-end Bobo (Bourgeois Bohême). (Zid)
- Je pense que la fin ne se termine pas trop bien parce qu’il n’a pas fait à Paris ce qu’il pensait au début mais il a rencontré Gabrielle, c’est la femme qu’il aime vraiment. ( Je crois) .( Chakriya)
- Il va rester avec Gabrielle, j’en suis persuadée( Mariame)
- Je pense que la fin se termine bien, parce que les personnes ont réalisé leur rêve. (Jinsi)

11. Pourquoi voyage-t-il et traverse l’espace-temps ? Pourquoi Gil voyage à une autre époque ? C’est dans son rêve, dans son imagination.

12. Pourquoi Gil croit qu’il a voyagé à une autre époque ? Il trouve l’inspiration et est persuadé que c’est grâce à ces personnages célèbres.